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VSS_1_2_2016

Was ist neu, was hat geändert? Nachfolgend werden vor allem jene Themen der neuen Fuss- gängerstreifennorm behandelt, die neu sind oder sich stark verändert haben: • Fussverkehrsmenge • Geschwindigkeiten des motorisierten Verkehrs • Sichtweite/Erkennungsdistanz/Annäherungsbereich • Abstände zu Lichtsignalanlagen (LSA) • Signal 1.22 • Fussgängerschutzinsel • Reklame • Verkehrstechnischer Bericht Allgemeines zur neuen Norm • Geltungsbereich: In der neuen Norm werden Fuss­ gängerstreifen (FGS) mit Lichtsignalanlagen (LSA) nicht behandelt. «Wir waren uns in der AG einig, dass diese Que- rungsart an einer anderen Stelle behandelt werden muss», so Eberling. • Gegenstand: Die Norm regelt die Anforderungen an Fuss- gängerstreifen, falls der Planer aufgrund eines Planungs- prozesses zum Schluss gekommen ist, dass die Querungs- variante «Fussgängerstreifen» die Geeignetste ist. Die alte Norm hatte den Anspruch, auch die Notwendigkeit eines FGS zu regeln. Bei der neuen Norm ergibt sich diese Not- wendigkeit laut Eberling «grundsätzlich aufgrund eines Planungsprozesses». Die Anforderungen umfassen die Anforderungs­voraussetzungen, die Posi­tionierung und die Ausrüstung sowie den Unterhalt des FGS. • Grundsätze: FGS sind Bestandteil des Strassenraums und somit ein wichtiges verbindendes Element des Fussweg- netzes. Dabei sind die Bedürfnisse aller Verkehrsteilneh- mer zu berücksichtigen. Fussverkehrsmenge «Die Fussgängermenge war zweifelsohne der grösste Knack- punkt, den die AG zu lösen hatte», erinnert sich Eberling. Nach hitzigen Diskussionen einigte man sich auf folgende Lösung: • FGS dürfen nur angebracht werden, wenn ein regelmässi- ger Querungsbedarf besteht. • Dieser ist gegeben, wenn mindestens 100 Fussgänger in den fünf Stunden eines Tages mit dem jeweils höchsten Fussgängeraufkommen (müssen nicht aufeinanderfolgen) den FGS überqueren. Aus Sicherheitsgründen sollte nicht von diesen beiden Vor- gaben abgewichen werden. Allerdings bietet die neue Norm in diesem Punkt eine gewisse Flexibilität bei folgenden Aus- nahmesituationen: Bei Querungen, die Teil einer qualifizier- ten Fusswegnetzplanung sind (z.B. Richtplanung) oder beim Vorliegen besonderer Vortrittsbedürfnisse (z.B. Haltstellen des ÖV, Schulhäuser, Alters- oder Behindertenheime), kann die Anordnung eines FGS auch bei tieferen Frequenzen ge- prüft werden. Gianantonio Scaramuzza, Berater Verkehrstechnik bei der bfu, hat sich intensiv mit diesem polarisierenden Thema be- Ce qui est nouveau, ce qui a changé La suite de cet article traite surtout des aspects de la nouvelle norme qui sont nouveaux ou qui ont connu d’importantes modi- fications: • Nombre de piétons • Vitesses du trafic motorisé • Distancedevisibilité/distancededétection/zoned’approche • Distance par rapport aux installations de feux de circulation • Signal 1.22 • Îlots de protection des piétons • Panneaux publicitaires • Expertise de trafic Généralités concernant la nouvelle norme • Domaine d’application: dans la nouvelle norme, les pas- sages piétons (PPP) ne sont pas traités avec les installa- tions de feux de circulation (IFC). «Au sein du GTrav, nous étions d’accord sur le fait que ce type de traversée devait être traitée ailleurs», déclare M. Eberling. • Objet: la norme réglemente les exigences à satisfaire par les passages piétons si le planificateur, sur la base d’un pro- cessus de planification, en est arrivé à la conclusion que la variante de traversée «passages piétons» est la plus adaptée. L’ancienne norme avait aussi pour ambition de réglemen- ter la nécessité d’un PPP. Dans la nouvelle norme, selon M. Eberling, cette nécessité «résulte foncièrement d’un proces- sus de planification». Les exigences englobent les condi- tions de mise en œuvre, le choix de l’emplacement ainsi que l’équipement et l’entretien des PPP. • Principes: les PPP font partie intégrante de l’espace rou- tier et sont donc un élément de liaison important du réseau des cheminements pédestres. En l’occurrence, il convient de tenir compte des besoins de tous les usagers de la route. Nombre de piétons «Le nombre de piétons était sans aucun doute le plus gros point d’achoppement pour le GTrav», se souvient M. Eberling. Après des discussions longues, on s’est mis d’accord sur la solution suivante: • Les PPP doivent uniquement être aménagés s’il existe un besoin régulier de traversée. • Ce besoin existe si au moins 100 piétons empruntent le PPP durant les cinq heures les plus fréquentées d’une journée, présentant le volume de circulation piétonnière le plus élevé (elles ne doivent pas nécessairement être consécutives). Pour des raisons de sécurité, il ne faut pas déroger aux deux directives. La nouvelle norme offre toutefois une certaine flexi- bilité dans plusieurs situations exceptionnelles: dans le cas de traversées faisant partie intégrante d’une procédure de planifi- cation de réseau de chemins piétoniers (p.ex. plan directeur) ou s’il existe des besoins particuliers par rapport à la priorité (p.ex. arrêts des transports publics, écoles, homes pour personnes âgées ou pour handicapés), on peut alors envisager la mise en œuvre d’un PPP, même pour des fréquences moindres. Gianantonio Scaramuzza, conseiller en technique de la circula- tion au bpa, s’est consacré de manière intensive à cette ques- THEMA THÈME 9

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