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VSS_1_2_2016

• Die Erfassung erfolgt wertungsfrei, d.h. möglichst nur durch messbare Indikatoren. Mittels automatischer GIS-Analysen werden die FGS definiert sowie Informationen zu Signalen, Beleuchtung und Lichtsignalanlagen erarbeitet. «So lässt sich vieles herausfinden, ohne vor Ort gehen zu müssen», erklärt Brucks. • DieBeurteilungerfolgtzuersteinheitlichglobal (statistisch), dann bezogen auf den Einzelfall (Augenschein). Mit einem möglichst einfachen Formular mit Kategorien wird vor Ort – mit dem Augenmerk auf Sichtweiten – nur geschätzt und nicht gemessen. Brucks: «Es geht einzig darum, zu wissen: Ist der FGS genügend oder ungenügend?». • Priorisierung mittels Malus-System (vgl. Kanton Zürich). • Schrittweise Sanierung durch separate Projekte oder im Rahmen des koordinierten Bauens. • Alle Daten zum Management von FGS benutzen, «damit auch in Zukunft damit gearbeitet werden kann». Bei diesem Vorgehen rechnet Brucks mit einem internen Auf- wand von ca. einer Stunde pro FGS, wobei bei Problemfällen auch eine fachkundige Beurteilung beizuziehen sei. Brucks macht keinen Hehl daraus, dass in einer Stadt mit einem derart engmaschigen Fusswegnetz manche Situa­ tionen nur schwer oder gar nicht veränderbar sind. Er nennt in diesem Zusammenhang Beispiele wie das Entfernen von sicht­ behindernden alten Bäumen oder Parkfeldern, die Koor- dination mit Baumalleen, nicht entfernbare Sichthindernisse (Gebäude) oder die Distanz zwischen FGS und zu LSA. So kon- zentriert sich die Stadt in einer ersten Phase auf Sofortmass­ nahmen wie Markierungen auffrischen, Signale versetzen, Trottoirkanten absenken, Grünwuchs schneiden oder Rekla- metafeln bei FGS entfernen. Bedeutung der Norm in ländlichen Kantonen In seinem unterhaltend vorgetragenen Referat skizziert Urban Keller, KI Appenzell Ausserrhoden, die Bedeutung und Umset- zung der Norm in der Praxis für einen ländlichen Kanton. Dort treffe die Problematik bei den insgesamt 485 FGS hauptsächlich den Kanton, da es Gemeinden ohne einen einzigen FGS gäbe. Die Voraussetzung für sichere FGS sei eine Umsetzungs­ behörde, die sich traue, Bestehendes zu hinterfragen, betont Keller. «Mit der neuen Norm haben wir nun ein wichtiges Instrument dafür geschaffen.» In einem ersten Schritt hat der Kanton etwa 10 % der FGS entfernt, die beispielsweise zu geringe Sichtweiten und keine Beleuchtung aufwiesen oder sich in Tempo-80-Bereichen befan- den. Kein einfaches Unterfangen, denn es hagelte böse Briefe, Unterschriftensammlungen wurden gestartet und Verantwort­ liche in den sozialen Medien blossgestellt. «Sie sehen, wir suchen nicht den einfachen Weg», meint Keller schmunzelnd und fügt an: «Wenn alle, die bei der Petition unterschrieben haben, auch den FGS benutzt hätten, hätten wir ihn nicht auflösen müssen ...» Mit der neuen Norm sollten weitere geschätzte 5 % der FGS ent- fernt werden, «doch es bleiben immer noch 400 FGS, die noch längst nicht alle saniert sind. Und ganz wichtig: Man muss die Grösse haben, einen FGS auch wieder zu markieren, wenn die Verhältnisse falsch eingeschätzt wurden oder sich ändern», meint Keller abschliessend. Rolf Leeb • Le recensement s’effectue sans évaluation, c’est-à-dire unique- ment avec des indicateurs mesurables, dans la mesure du pos- sible. Des analyses SIG automatiques permettent de définir les PPP et de collecter des informations sur les signaux, l’éclairage et les installations de feux de circulation. «Ainsi, on peut en sa- voir beaucoup sans devoir aller sur place», explique le Dr Brucks. • L’évaluation a d’abord lieu de façon homogène et globale (statistique), puis au cas par cas (examen visuel). Au moyen d’un formulaire aussi simple que possible proposant plu- sieurs catégories, on se contente d’estimer la situation sur place – en se focalisant sur les distances de visibilité – sans effectuer de mesure. Le Dr Brucks explique: «Il s’agit juste de savoir si le PPP est suffisant ou insuffisant». • Priorisationaumoyend’unsystèmedemalus(cf.cantondeZurich). • Réhabilitation progressive par des projets distincts ou dans le cadre de la construction coordonnée. • Utilisation de toutes les données relatives à la gestion des PPP «pour qu’on puisse aussi travailler sur cette base à l’avenir.» En mettant en œuvre cette procédure, le Dr Brucks table sur un volume de travail en interne d’env. 1 heure par PPP, avec recours à une évaluation professionnelle dans les cas problématiques. Le Dr Brucks ne cache pas que dans une ville dotée d’un réseau de voies piétonnières aussi dense, certaines situations sont très difficiles voire impossibles à modifier. Dans ce contexte, il donne des exemples, comme la suppression de vieux arbres ou de cases de stationnement masquant la vision, la coordination avec les allées d’arbres, les obstacles visuels impossibles à supprimer (bâtiments) ou la distance entre PPP et IFC. Ainsi, la ville se concentre dans un premier temps sur les mesures immédiates comme le rafraîchissement des marquages, la pose de signaux, l’abaissement des bords de trottoir, la taille de la végétation ou la suppression de panneaux publicitaires au niveau des PPP. Importance de la norme dans les cantons ruraux Dans son exposé présenté de façon très divertissante, Urban Kel- ler, du canton d’Appenzell-Rhodes Extérieures, expose l’impor- tance de la norme et sa mise en œuvre dans la pratique pour un canton rural. La problématique y concerne principalement le can- ton, avec 485 PPP au total, puisqu’il existe des communes sans le moindre PPP. Selon lui, pour aménager des PPP sûrs, il faut dis- poser d’une autorité chargée de la mise en œuvre qui a le courage de remettre en cause ce qui existe, souligne M. Keller. «Avec cette nouvelle norme, nous avons créé un instrument important pour cela.» Dans un premier temps, le canton a supprimé env. 10 % des PPP, ceux qui par exemple présentaient des distances de visibi- lité trop faibles et n’avaient pas d’éclairage, ou qui se trouvaient dans des zones où la vitesse est limitée à 80 km/h. Ce ne fut pas une tâche facile, car une avalanche de lettres désobligeantes a été reçue, des pétitions ont été lancées et des responsables ont été pris à partie sur les réseaux sociaux. «Comme vous le voyez, nous ne recherchons pas la facilité», déclare M. Keller avec malice, ajou- tant: «si tous ceux qui ont signé la pétition avaient aussi utilisé le PPP, nous n’aurions pas eu besoin de le supprimer ...» Avec la nouvelle norme, on estime que 5 % supplémentaires des PPP devront être supprimés, «mais il restera encore 400 PPP qui sont loin d’être tous réhabilités. Et: il faut avoir la modestie de marquer à nouveauunPPPsilasituationaétémalévaluéeouqu’elleachangé.» THEMA THÈME 16 STRASSE UND VERKEHR NR. 1-2, JANUAR-FEBRUAR 2016 ROUTE ET TRAFIC N o 1-2, JANVIER-FÉVRIER 2016

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