1 | Ist in der neuen Norm wegen fehlender Rechtsgrundlage nicht enthalten: Das Gefahrensignal «Strassenbahn». 1 | Le signal de danger «Tramway» n’est pas compris dans la nouvelle norme pour défaut de base juridique. (über Jahre gewachsene Hecken und Zäune, Aus- und Einfahrten usw.) herrschen und ein dichtes Fussgängernetz vorhanden ist, nur beschränkt anwendbar ist. Kann hier die neue Norm bei den vielen möglichen Ausnahmen den Anspruch nach mehr Sicherheit überhaupt erfüllen? Grundsätzlich gilt es festzuhalten, dass eine Norm den Nor- malfall regelt. Für städtische Bereiche wurde ein Spagat zwi- schen Anforderungen hinsichtlich der Sicherheit und der Flexibilität für komplexe Situationen gesucht. Dieser Kompro- miss ist aus meiner Sicht gut gelungen. Sicher ist die Einhal- tung aller Aspekte bei komplexen Situationen in Städten nicht immer einfach. Doch in einem solchen Fall sind dann halt gute Verkehrsingenieure gefragt ... Zahlreiche Städte hätten sich vor allem bei den Tram querungen eine verbindliche Lösung gewünscht. Wieso hat man hier nichts Griffigeres in die Norm geschrieben? Es stimmt: Die Frage, wie ein Fussgängerstreifen im Be- reich von Tramgeleisen markiert wird, wenn das Tram im Mischverkehr fährt oder bei einem Eigentrasse der Platz für Schutz inseln fehlt, bleibt unbeantwortet. Ich hätte mir hier die Markierung mit dem Gefahrensignal «Strassenbahn» gewünscht, zumal eine Forschung des VSS den Nutzen be- stätigt hat. Leider geriet aber die Einführung der Rechts- grundlage, die für ein solches Signal zwingend notwendig ist, ins Stocken. Somit blieb der Arbeitsgruppe keine andere Wahl, als in der neuen Norm darauf zu verzichten. Und da- mit bleibt – leider – auch das Dilemma durchmarkieren oder nicht weiterhin bestehen. Interview Rolf Leeb À première vue, il semble que la norme n’est applicable que de façon limitée dans les villes marquées par des espaces restreints et un manque de visibilité (clôtures et haies de plusieurs années, entrées et sorties, etc.) et qui présentent un réseau piéton dense. En l’occurrence, la nouvelle norme peut-elle répondre à l’exigence de sécurité accrue avec autant d’exceptions possibles? Il convient de retenir foncièrement qu’une norme réglemente la normalité. Concernant les zones urbaines, on a cherché à faire le grand écart entre les exigences de sécurité et la flexi- bilité pour les situations complexes. Selon moi, ce compromis est une réussite. Bien entendu, respecter tous les aspects dans les situations urbaines complexes n’est pas toujours simple. Dans ce genre de cas, il faut donc qu’interviennent de bons ingénieurs de la circulation ... De nombreuses villes auraient souhaité une solution contraignante, notamment pour les traversées de lignes de tram. Pourquoi n’a-t-on pas intégré de disposition plus incisive à la norme? C’est vrai: nous n’avons pas apporté de réponse à la question de savoir comment marquer un passage piétons dans les zones des voies de tram quand le tram circule en mixité avec les autres modes de transport ou qu’il n’y a pas la place d’installer des îlots sur un tronçon. J’aurais souhaité un marquage avec le signal de danger «Tramway», d’autant qu’un travail de recherche de la VSS en a confirmé l’utilité. Malheureusement, l’introduction de la base juridique, absolument nécessaire pour un tel signal, est restée au point mort. Le groupe de travail n’a donc pas eu d’autre possibilité que d’y renoncer dans la nouvelle norme. Ainsi, le dilemme «marquage ou pas marquage» demeure, hélas. THEMA THÈME 21